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Merci Didier. La vie a été dure pour nous. Nous ne pensions pas franchir ce cap : Dieu nous a réunis

Entre écorchés vifs, il risque de se produire des conséquences. Une phrase idiote de ma part et j'ai enfoncé un glaive dans le coeur de mon ami. J'ai prié, j'ai réfléchi en demandant à une internaute si elle avait compris. Non, elle ne comprenait pas mais j'ai entendu une phrase me laissant entrevoir une blessure qui nécessitait que je me relise. Je connais bien mon ami : ma phrase était atroce, à mon insu de sale gosse.

Si nous y arrivons avec Dieu, nous ne sommes pas fous, puisque centrés sur L'Essentiel. Je suis bouleversée :c'est si beau

 

Le pardon efface tout

Lecteur, ne sois pas étonné : j'ai enlevé des articles sans savoir si j'ai tout enlevé. Didier et moi sommes dans le pardon.

 

Pour Didier

Mille mercis, Didier!

Ton amie " sale gosse " déconne de temps à autre mais elle a un très grand coeur. Je te voyais dans le désert marchant à mes côtés sur ta si belle aquarelle. Tout redevient simple. Je te propose une bataille de pommes pourries. Merci Didier. Maryam.

 

Premier périple pour l'enfant rapportant des plantes médicinales.

Le grand-père et l'enfant marchent côte à côte. Le grand-père est marabout et connait les plantes. Il veut transmettre son savoir à l'enfant qui l'interroge. " Grand-Père, c'est trop loin pour vous. Je vais suivre la piste dont vous me parlez et je vous rapporterai des plantes dont vous me donnerez les vertus médicinales". Le vieil homme s'oblige à marcher alors qu'il a l'impression qu'il va s'effondrer sur le sol, sans pouvoir se relever. L'enfant est très inquiet.

L'enfant fixe un point peu éloigné d'eux où il perçoit des bergers dans la poussière d'une tempête de sable. Il leur fait un signe de détresse. Tous arrivent en étouffant dans la tempête de sable. Ils reconnaissent L'Ancien. " Grand-Père, ils vont vers la ville (El Oued). Ils vont vous accompagner. Je suis grand : je vais me débrouiller." Voix et voie de la sagesse.Plein de douceur et d'affection, l'enfant confie son grand-père aux bergers, puis part en toussant, son chèche n'étant pas de bonne qualité.

Bien entendu, il se protège avec son chèche sur le visage pour ne pas inhaler de sable. Il se dirige selon les consignes de son grand-père. Il n'a ni eau ni nourriture. " Grand-Père se force pour marcher. Je dois faire de même". Il ne voit plus de signes ni de pistes, ignore où il est mais garde la direction indiquée par son grand-père, s'accroche aux rochers et saigne abondamment. Il doit trouver les plantes, les ramener. Il faudra trouver d'autres bergers....

 

Didier, je sais que tu respectes le désert. Pardonne ma phrase maladroite.

Candide, enfant ,surprise, j'ai écrit pour la femme de Didier afin qu'elle ait plus de désir pour " le devoir conjugal". Entre des lectures littéraires et un peu d'imagination, j'ai touché cette femme. Didier, il n'y a aucun mal dans ce que j'ai déclenché chez ta femme. Je n'avais pas prévu qu'elle puisse me désirer. Didier, tu ne peux nier ces faits, et c'est inutile. Ma seule inquiétude était de blesser ta femme en lui disant "non". Pour l'incarnation du désert, des kilomètres nous séparent. Le vrai Didier est droit et intègre. Didier, tu n'es pas choqué par l'imprévu pour nous tous, et peux en rire. Vois-tu, je fus très triste de te voir mentir. Tu vaux plus que ce mensonge. En réalité, il ne s'est rien passé si ce n'est un jeu de fantasmes....

J'ai eu peur de blesser ta femme, Didier. Rien d'autre puisque je n'ai pas bien compris ces étranges évènements. Au contemplatif qui est en Didier, je demande pardon pour ma phrase maladroite : " ne dépucèle pas le désert". Je suppose que j'ai écrit ceci à cause d'autres échanges coquins, car j'ai hérité un peu le côté des plaisanteries grivoises de ma mère. Désert et sacré : tu connais ce registre. Nous avons beaucoup échangé sur des domaines spirituels. Didier, tu aurais besoin de l'immense douceur du désert pour oublier des agressions sordides.

Je sais que tu respecteras le désert. Mille pardons : tu m'avais parlé d'agressions dans ton enfance. Juste un clin d'oeil : une de mes cousines ne comprit pas ma réaction au sujet de la pseudo-épitaphe de Sacha  Guitry. Elle fantasmait sur ma vie sentimentale non scabreuse. Tu sais que j'ai subi plusieurs viols, avec la question lancinante de l'agréssé(e) : suis-je coupable de ce qui s'est passé ? Je devine la profondeur et l'intensité de la blessure que tu as ressenties, à cause d'une phrase de sale gosse.

 

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