Monsieur Connard, il n'est ni intelligent ni opérationnel de dire à une personne qu'elle ne peut pas trouver un emploi. J'ai évoqué le pari de Pascal, en laissant à chacun se choisir ce qui lui tient lieu de " dieu" Amis lecteurs, vous comprendrez que je ne prenne pas un message me parlant de la charia dans des pays que j'aime Je vous en supplie : faites un autre pari de Pascal puisque vous ne pouvez pas l'empêcher.

"Donnez-moi la sérénité d'accepter ce que je ne peux changer, le courage de changer ce qui peut l'être, mais  aussi la sagesse de distinguer l'un de l'autre " (Marc Aurèle). Donnez-moi le discernement  de savoir  ce que je peux  faire et d'accepter ce que je ne peux pas changer".  Il m'apparaît presque indécent de parler de la charia. J'ai vécu en Egypte. Tous les pays du Proche Orient me sont plus que proches.

Je suis en choc. Comment parler de ces drames en riant d'une intuition que j'eus en Turquie, à Ephèse, en avouant craindre une alliance  entre pays musulmans et pays de l'ex-URSS et son attaque contre L'Occident. Je ne sais plus sur quel ton je l'ai exprimé, mais j'en étais terrassée.

Ma radio est en uniforme de Pompes Funèbres, profession où l'on gagne bien sa vie. Un premier auteur d'un livre lambda nous annonce les pires horreurs. Nous sommes chez Les Pompes Funèbres. Un nom traversa cette buée funèbre, celui de Stéphane Hessel que j'ai souvent vu dans des colloques. Il me semble que nous pourrons limiter la casse en nous regroupant avec des axes forts de solidarité, s'encorder mais il faut apprendre à se servir de cette corde pour tenir le choc.

A chacun " son pari de Pascal", pari moteur évitant l'acédie : une urgence que je sens en moi d'autant plus que des connards se disant contre le suicide m'explique par " a+b" que mon avenir est foutu,sans connaissance de mes compétences, au nom desquelles les connards raisonnent comme des bâtons de chaise.

Mais il y a des humains dotés de valeur et de coeur. Fabrice sut me soutenir, hier,  et ma gratitude est immense. Si le connard vient encore me déranger, ma plume lui servira des tortures raffinées. Il semblerait que la succession d'Antoine de Saint Exupéry donne plus d'éléments non encore à la portée du grand public. En outre, un blog où écrirvent les voisins de sa famille, en France, est ouvert : www.antoinedesaintexupery.com

Merci Dino pour ce médecin qui a acheté ses diplômes aux Puces de Clignancourt. J'ai besoin d'estime, de chaleur humaine, d'amitié, d'amour. Il est terriblement dangereux. J'en ai rien à foutre des gens normodosésés. Ils sont de la même folie ordonnée que celle qu'avait Hitler. Par Egbert, j'en sais beaucoup plus sur la résistance allemande, que le commun des mortels, et je trouve que ces réseaux ont été extrêmement courageux.

Egbert, je vous devine. Nous savons que ceci arrive. Ce type n'a pas de tempérament et n'a pas su rédoudre son problème. Il a beaucoup trop d'interdits moraux pour tenter d'autres expériences. Il est si con qu'il m'a dit qu'il aimait le cinéma mais pas l'opéra. A titre indicatif, "ma grand-mère  faisait du vélo", mais la sienne ne sut peut- être pas le faire.

Je ne comprends pas ce genre de crimes et ce connard estime anormal que mon père récuse les médecins incompétents sans sentiment ?

Pour overblog, je ne sais qui m'a jeté un sort, mais je ne peux plus vous envoyer mes articles ni mettre de commentaires sur les vôtres. Mille pardons. Après une matinée de terreur,il me va falloir remédier à l'ensemble, remettre la bonne-femme debout.

Cassée ou non, il faut bien la caser dans un emploi du style " gratte papiers", un boulot un peu con puisque je suis déclarée nullissime par un type qui a voulu me blesser et qui n'est pas sur les blogs.

Cassée, brisée, je ne comprends rien à la méchanceté humaine. Je vais me flinguer. Si Pierre J m'a envoyé un virus, il est infect., sous humain. Né en 1946, il joue encore à séduire les femmes et peut-être à les briser. Il joue aux petites voitures et a un légo. Il paraît qu'il joue à la poupée (chut, c'est secret).

Je refuse l'informatique, les échanges d'horreur. Il reste à crever.