mehareesdemaryam
Je ne puis vivre en dessous de mon niveau.
Je rentre d'une conférence d'exégèse qui exige une finesse d'écoute qui peut sembler complexe, dans un premier temps, mais qui correspond au plus profond de mon être, et qui est l'axe de ma vie, l'axe de ma sculpture, ce grâce à quoi je peux être sauvée. En deçà d'un certain niveau, je m'ennuie et de sombres pensées m'envahissent. Nulle prétention de ma part : je constate ce qui m'est bon.
Il est probable que mon cerveau et tout mon être souffrent. Je ne cesse de dire qu'il faut élever le débat. J'ai une grosse bronchite, et enfin des antibiotiques. Pardon, mais je ne peux qu'explorer au-delà de l'incompréhensible. Je suis chercheur, explorateur, ne cesse de m'ouvrir de plus en plus pour accueillir toutes les découvertes de notre monde.
Et merde à qui me traite de folle
Comment est-il possible qu'un homme atteint de pathologie psychiatrique ose parler de folie? Une amie faisant des remplacements en psychiatrie a croisé une patiente qui lui a demandé si elle rentrait de permission...Je n'accepte pas que l'on tienne de tels propos envers qui que ce soit. La femme du peintre se dit amoureuse de moi, à cause de quelques articles. Et j'ai reçuavec stupeur un mail me reprochant de ne pas être "bi"(sic).
Un de mes amis est exorciste: ils ont peut-être besoin de lui.
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DuCQFD pour l'analyse des dysfonctionnements de certains blogueurs au jugement meurtrier. Le checheur est très choqué par ce genre d'erreurs !!!