mehareesdemaryam
Je file m'inscrire
Putain de sort : je suis au bord du malaise mais l'ordinateur ne gagnera pas la bataille. S'il faut dégueuler, dégueulons. Je ne dégueule que les horreurs qui m'ont été dites. Je tente de réparer la bonne-femme mais je dois vaincre et j'y arriverai. J'ai beaucoup trop souffert pour accepter de souffrir encore.
Connaissez-vous les propos de Talleyrand au sujet de Saint Denis portant sa tête : " Il n'y a que le premier pas qui coûte"? Si je commence à rire, je vais aller m'occuper l'esprit avec les merveilles d'une bibliothèque. A chacun, son oasis, sa manière de vivre malgré les épreuves. A chacun son opium.
Si vous compatissez, réjouissez-vous du fait que je vais aller m'inscrire à l'université. "Felix culpa" comme l'a si bien écrit St Paul. Restez chez soi est accepter de s'enterrer vivant, ce que je refuse.
Les mots peuvent tuer
J'ai trouvé un mail d'une personne n'ayant pas lu mes articles qui ignore donc le coup de poignard qu'elle m'a envoyée. " Felix culpa" a écrit Saint Paul. Je sais que cette maladresse n'est pas volontaire. Les médicaments ne sont pas totalement dissipés. Je vais m'inscrire à l'université, être en face d'humains et non de la grille qu'est l'écran,ni d'ordinateur décérébré. " Mort aux cons "slogan auquel LeGénéral de Gaulle a répondu : " vaste programme"!
Eteindre ce putain d'ordinateur pour vivre. Cet engin est mortifère. Je vais dégueuler.C'est sûrement très bon pour les régimes. Je ne joue plus. Nul ne pourra me blesser par ce biais. Je rappelle que ma boite yahoo a été piratée. J'ai perdu des adresses de personnes à qui j'envoyais mes articles.
J'ai déblogué à pleins tubes et je quitte cette voie d'horreurs. Je ne peux plus rien supporter. J'ai trop de stress pour pouvoir encaisser n'importe quoi.
Réponse à Bernard : j'ai un problème avec le site web.
Bernard, votre site me renvoit vers l'art de donner un bain à un enfant et je n'ai pas vu comment vous répondre dans ce bain étrange. Je vous précise que j'ai un autre blog : http://elisabethdehautsegur.over-blog.com
Sophiana est l'enfant d'une amie qui l'eut à quarante ans , en étant plaquée par le père. J'ai rédigé beaucoup d'articles commençant par " Mon enfant" parce que j'ai senti que cette jeune femme de dix huit ans avait besoin que mes propos respectent sa vie privée. A tort ou à raison, j'ai joué un rôle de substitut parental pour cette enfance et surtout lorsqu'elle était enfant. Il me fut reproché mes articles "Mon enfant" sur overblog. Si vous allez sur mon autre blog,, tous les articles démarrant avec cette entame concernent ma filleule. Seul celui qui se déroule sous le pont d'Haoraw, à Calcutta, où j'ai vécu, ne la concerne pas.
"Bi", tri".... : ce sont des us que je ne comprends pas. Je viens d'une famille traditionnelle et ai reçu une éducationXIXème siècle. La mère de Sophiana a subi une éducation également rétrograde. J'ai vécu en Egypte, connais donc les us orientaux., et les vis.
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En choc, je vais sans doute disparaître, m'enfuir dans le sanctuaire de la montagne aux écritures.
Les blogs me conduisent à souffrir. Je vais donc m'inscrire au centre Sèvres, faculté des jésuites. J'oublie toujours le manque d'ouverture d'esprit,et je souffre des jugements me condamnant qui me sont envoyés. Je viens de recevoir un coup de poignard dans le dos, et je saigne abondamment. Mon coeur a été atteint. Je me vide de mon sang accentuant l'ocre du sable...
"Je m'en vais vers La Vie" comme l'a dit Thérèse de Lisieux. Si les blogs sont destructeurs, je m'enfuis, loin, là où nul ne pourra me blesser, auprès de mes vrais amis. Comment peut-on exprimer de telles choses ? Les humains ne sont pas dignes de confiance. Il ne faut jamais rien leur confier. Je n'ai confiance qu'en mon dromadaire comme les loubards de Guy Gilbert qui reprennent vie en s'occupant d'animaux à Faucon.
Je fus, à nouveau, confrontée à la mort comme seule issue. Vous savez que j'ai peur de la folie comme toutes les personnes ayant un proche qui n'eut que l'issue d'un délire pour ne pas être en face de sa douleur. Vous comprenez ce que je viens de lire. Sur overblog, j'évoque une évolution émouvante d'une malade devenue mon amie durant le stage que je faisais dans un service de psychiatrique. Je fuis, à tout jamais, horrifiée.
Vous qui êtes tous " bi","tri"', vous condamnez mon statut de mère de coeur!!!
J'envisageais une halte au collège des Bernardins mais il était trop tard pour que je puisse m'y rendre. Les voûtes du cellier sont romanes et me bouleversent. Il est possible de les voir là où il n'y a pas de salles de conférences, en descendant à gauche. A chacun son opium : j'ai choisi la foi et non le haschiche qui n'apporte rien au plus profond de l'être. Les médicaments? Il est trop tôt pour un sevrage: je suis débordée de soucis.
Je voudrais également exprimer aux spécialistes en critiques que lorsque je parle de ma filleule comme si elle était ma fille,à l'orientale, c'est avec le total accord de sa mère de sang qui reçut tout comme moi une éducation du XIXème siècle, et dont la mère avait une très forte personnalité et de réels talents d'artiste, une femme accueillant à merveille les amis de sa fille. Le grand-père maternel de Sophiana était officier, bardé de décorations, simple,plus que croyant et royaliste (un clin d'oeil à un ami qui me lit peut-être).
Enfant, Sophiana était désopilante. Elle était très souvent chez moi. Mes entrailles de mère aimaient l'entraîner dans des jeux comme le jour où je fis régner l'ordre dans un jardin public en fonction de l'âge des enfants. Il faisait très chaud et il fallait que les enfants boivent ou soient aspergés d'eau.J'avais inventé toute une histoire avec un puits où des filles africaines sont venues m'aider à hydrater les bébés qui ne pouvaient pas boire. Sophiana est ma fille de coeur : où est le problème? Sa grand-mère maternelle et ma mère ont dû communiquer par télépathies, ma mère me sortant une horreur à laquelle j'ai répondu en tentant de me tuer.
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Ouf! Enfin, je fais une chose intelligente!!!!