Les fonctionnaires de l'ordre ont servi Hitler. Tout était rangé dans un ordre  diabolique,un ordre de racailles. Je n'aurais jamais dû me laisser toucher par les réflexions sur les limites de mes rangements.  Ceux qui m'ont condamnée ne m'ont pas offert d'étagères ni d'apporter celles que j'ai chez mon père. Monstres d'horreur, ils m'ont dite " folle " parce que bordélique. Sachez que je hais le nazisme, que ma famille a lutté par ses résistants. Je n'arrive pas à lire " Mein Kampf" Quand j'en aurai la force, je le lirai, parce que nul ne crut ce qui était planifié dans  cet ouvrage.

Je m'apprêtais à sortir et je suis tombée sur des sacs de livres. J'ai cherché le programme du centre sèvres que je voudrais avoir. Cette université est un refuge pour moi, la bibliothèque est parfaite, et possède des connections pour des ordinateurs portables. J'ai récupéré plusieurs ouvrages ou revues dont l'un est sur l'apparition de La Guadalupe au Mexique où Marie apparut métisse et enceinte, et la maternité mariale me touche beaucoup plus que la virginité, l'hymen ayant sauté lors de la naissance de l'enfant,et  comme les orientales sont des commères, si la naissance n'avait pas été en position céphalique, le monde entier le saurait. Les médecins savaient retourner un bébé naissant par le siège.

Les  connards ricanent. Dans mon agenda se trouve la reproduction apparue sur le vêtement de Juan Diégo quand il apporta des roses de   Castille en plein hiver  à  l'évêque.  Cette  histoire est   beaucoup trop belle pour ne pas être reçue. Je l'ai découverte,il   y a quelques   années, peu après le décès de ma mère. J'ai envoyé une série d'ouvrages à mon père. Nous avions beaucoup de soucis  sans pouvoir en parler à ma  mère. Une apparition nullement à l'eau de rose,  malgré les roses de Castille. En Orance,  j'entendis qu'elle veillait sur nous tous et qu'elle  adoucirait nos vies.    Peu  importe comment est entendu  ou à    entendre ce type de messages.    Lorsque la  souffrance est intolérable, la foi est l'axe de la vie et doit être totalement respectée.

Il ne m'est pas possible de joindre l'ex-trader dont je n'ai pas l'adresse exacte. Rien ne prouve que nul autre n'ait vécu la même horreur que moi. Monsieur, l'hôpital a osé donner à mon père un sac de plastique blanc qu'il m'a transmis, ignorant ce que j'y trouverais. Il n'avait pas ouvert ce sac : Deo Gratias. Je reconnais avoir été candide. Je n'avais jamais vu une telle horreur dans un hopital parisien. Tout ce qui relevait des soins pour ma pomme. Il y avait dans ce sac une chemise de nuit non lavée avec du sang et une odeur effroyable de sueur de sang qui me semble compatible avec une mort par hémorragie générale.

Lecteur, garde ton bon sens et n'écoute pas ce fou qui a supervisé le film sur Thibirine. Je suis celle qui t'accompagnera si un hôpital te fait le même sale  coup. Ne t'inquiète pas : l'odeur est celle d'une hémorragie et non de l'angoisse. Ma mère était très réaliste, comprit ce qui lui arriva, tenta de demander pardon à mon père de partir en premier. Ils ont prié ensemble jusqu'à la dernière seconde avec cinquante cinq ans de mariage. Non au dieu pervers de l'ex-trader. Je sais que ma mère a eu le temps de bipper Dieu et de se jeter dans Ses Bras. Nous  avons fait ensemble des toilettes mortuaires de proches accompagnés jusqu'à la fin. J'ai souffert de ne pas avoir accompagnée ma mère puis me suis dit qu'il était bon que son mari soit l'accompagnateur. Et mon pauvre frère devait prier, mais il était en choc. Les fous ont une âme. Je retiens ma plume avant d'opérer un cassage de gueule en bonne et due forme!!!

Je    n'ai   ni  argent ni pétrole, mais des  idées  dont une solution    pour    Madame  Bettencourt sur    mon autre blog       d'overblog  :  http://elisabethdehautsegur.over-blog.com

Je n'ai que   mon coeur et je vous laisse  entendre son   chant    profond.Elle ne   sera  pas en  danger. Je veillerai  sur elle    comme une vraie fille.  "Maman avez-vous entendu mon  hurlement intérieur?Il ne  fallait  pas partir   sans  nous   dire au revoir."   Un monstre  m'a     déchiré  le coeur   avec ses   délires sur le crucifié  :   merci,  Monsieur,  je suis la seule  à                                savoir que ma mère   a       sué du sang. Ne me dites    pas    que c'est      systématiquement preuve d'angoisse,vous ex-trader.

Pardon  :  mon clavier n'a   pas pris son traitement. Oui, il faut lui donner un bain chaque jour sinon il fait sauter les mots.

Il ne fallait pas casser mon calame. Pourquoi m'as-tu attaquée ainsi ? Tout s'est effondré, mais je suis encore là...

Ai-je bien compris ? Vous en avez marre de mes blogs?