Ma vie passe par ses épreuves  comme la vôtre. Sur overblog, j'ai laissé une synthèse sur cinq ans de déblogage. J'ai ri en l'écrivant sans parvenir à me faire  sortir de mon tunnel. Les angoisses d'un médecin, à mon sujet, ont été trop  lourdes pour moi. Sa conscience professionnelle est trop forte. A vrai dire, j'ai fait une ânerie en écoutant quelques personnes croyant avoir une solution pour moi.(celles qui me parlèrent de sevrage)

J'ai froid. Ma fenêtre est cassée. J'ai besoin d'oublier les chagrins de la vie en les tuant chimiquement. En soi, ce n'est pas bien mais je n'ai pas d'autre issue. Si j'exprime mon tourment j'inquiète les autres et ceci n'a plus le charme de l'air de Chérubin dans Les Noces de Figaro. J'ai évoqué Liza dans l'article précédent. Je me suis fait avoir par une manipulatrice qui a foutu, sciemment, sa vie en l'air. Nous ne pouvons pas tourner en rond indéfiniment avec elle.  Elle est apte à faire une synthèse avec son intelligence plus limitée qu'elle ne le croit puisqu'elle n'entretient pas son intellect et qu'elle se comporte en plante verte comme le lui a dit un médecin.

Elle n'assume même pas les heures qu'elle m'a fait perdre au téléphone avec ce putain de forfait illimité. J'ai horreur de ce type de vacuité. D'autres le font mais ont des raisons plus compréhensibles de le faire. Tout le monde peut passer par l'épreuve de l'absurde en ce bas monde, par cette  quête folle de l'autre sur lequel il faudrait éviter de transférer le magma familial que vous pouvez balancer à un psy qui ne doit  pas en être affecté.  Il vous reste aussi la dignité d'élever le débat quand vous êtes mangés par vos émotions sombres. Etudiez, faites 80km à 8km/heure ce qui est le rythme du groupe sportif du club alpin dont je fis partie. Fuyez les cloaques et les marais sombres : ils vous sont nocifs.

Je n'ai jamais rencontré qui que ce soit me demandant un suicide en ligne. Sache  Liza que c'est surhumain.

Merci à ceux qui  sont venus me lire. Je ne peux pas vous dire où j'en suis. J'émerge d'une hypoglycémie ... Beaucoup de stress. Mon père souff.re. 

Pardon  je dois, à nuveau m'allonger.

NOUS SOMMES CATHOLIQUES. LA MORT EST PASSAGE.

Mon Dieu, quelles épreuves au fil des ans dont celles portées avec mes parents qui avaient besoin de soutien (honni soit qui    mal y pense). Mon Dieu,j'ai été transpercée en entendant Papa. La grâce  m'est alors tombée dessus. Je devais  rassurer mon père par une vraie piste professionnelle. Je lui  dois cette sécurité pour l'apaiser.

La femme qui m'a dit que tout avait changé dans les soins    me prend  pour  une   imbécile.  Je n'irai pas en    réanimation    ou  autres services surchargés de   problèmes    techniques. Je donne  une   infinie   douceur   aux  malades   :  c'est en  moi. Je n'ai plus rien à prouver. J'ai réussi à recevoir le profil de surdouée avec dominante intuitive et labeur du cerveau droit. Sur overblog, j'ai   rédigé un article sur l'intelligence intuitive : http://elisabethdehautsegur.over-blog.com

J'ai assumé toutes les épreuves. J'ai pris plus de responsabilités que prévu, formant mes collègues de service, créant au sein de mon emploi. A  Nanterre, j'ai pratiqué une adaptation de haute volée, en créant des services. Je l'ai fait partout où je suis  passée. J'ai étudié les cahiers de  l'internat en me formant en santé, et je donnais mes synthèses  aux amis. On m'a méprisée, traînée dans la boue,  martyrisée...Qu'importent les causes de ce  massacre! Sans l'avoir     voulu, j'ai été configurée au Christ, et il fallait que je n'en sois pas consciente. Je me retrouve en cette  femme  évoquée par Henri    Caffarel   :  " Camille C ou l'emprise de Dieu" édition Feu  Nouveau.

Je me relève d'un coup pour que mon père soit en   paix.Et je revois ma route ensoleillée d'Afrique. Tout est ajusté. " Joie, joie,joie" dans le Mémorial de Pascal. La broussse et plus encore le désert m'ont donné   une force de battante. Je suis sortie de toutes les tempêtes de sable,de toutes les pertes  dans le sable enflammé