mehareesdemaryam
SOS Suicide
Si je me flingue, vous en connaîtrez une des causes grâce à mes blogs que quelques saints lisent encore.
Trop sinistre.
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A quelle vitesse parlez-vous?
La radio offre un peu d'espérance et je vais tenter de vous la transmettre. Il est 10h47, nous sommes le 24 octobre 2011. L'émission reste lisible sur le site de Radio Notre Dame. Je viens d'entendre une femme tonique qui semble avoir créé une association, mère de deux enfants d'environ vingt ans qui lui ont suggéré le morceau de musique pour la pause, soit un troisième mouvement d'un concerto au piano de Chopin( je ne pouvais pas prendre de notes, en buvant, debout, un café) joué par UNE VIRTUOSE DE VINGT- VINGT CINQ ANS AYANT DEMARRE LE PIANO A L' AGE DE NEUF ANS. Le choix fut celui des enfants : une jeune virtuose.
Pour ma part, j'ai l'expérience de la jeunesse y compris celle de l'avoir guidée lors de stages. Messieurs les employeurs, nous avons le même âge. Vous n'aimez pas mon côté baroudeur ? Vous me reprochez de m'être humanisée devant les épreuves et de ne plus avoir un visage de marbre quelle que soit l'épreuve traversée? Mes amis ( oui, nous fûmes dans les mêmes universités, dans les mêmes écoles, dans les mêmes mouvements), je n'ai jamais eu de visage de marbre mais un remarquable contrôle de mes bouleversements que je puis encore adopter si cela est nécessaire. Un rire me rejoint devant le cocasse de situation : j'ai passé beaucoup de temps à consoler nos amis venus mettre de l'eau bénite sur le corps de ma mère ce qu'elle aurait fait elle-même.Mes frères, soeur et moi-même avons encaissé avec autant de contrôle de nous-mêmes que possible dans le respect mutuel ( nos larmes une fraction de seconde croisées étaient ravalées sans que nos regards ne se croisent , à nouveau). Nous étions humains et l'avons toujours été.
Mon père qui embaucha beaucoup de chargés de recherche m'entendait mal au léléphone et nous cherchions ensemble la cause. " Tu parles très vite : c'est ton ascendance d'A". Au département confidence des causes et des conséquences, ceci devenait drôle :" tu dois penser à toute vitesse, et j'ai répondu". " Oui, cela se pousse au portillon" (il me fallut choisir une expression plus simple). "Quand tu parles anglais, tu parles aussi vite?" " Oui, et même en arabe et autres langues emloyées en travaillant ". Nous eûmes un rire complice. Il m'accorda un compliment sur mon intelligence caché dans mon armoire aux trésors : il m'était doux à entendre mais j'eus le bon sens de penser que j'étais un peu stressée, ne ralentissant pas mon rythme parcequ'au téléphone il me faut plus de temps que de visu pour percevoir l'effet que je produis sur mon interlocuteur...
En cours de fermeture.
Une bronchite, le thorax en feu Je remercie mes huit lecteurs. Je crois avoir bien cerné les sales coups des blogs comme des relations virtuelles. N'en déplaise à Raska, j'ai déjà vendu ma prose! L'amitié est pour moi SACREE. Je ne comprends rien quand ceux qui s'en vont n'en m'en donne pas la cause
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Quand je dévergonde les grandes personnes....
Chut! Passage secret sur le lequel veille la police secrète du Moqattam( lieu mal fréquenté, raison pour laquelle j'y habitais). L'âge venant, les générations parlent librement en adultes convenables Soudain, vous évoquez une galipette du niveau jardin d'enfants, et vous voyez votre interlocuteur se transformer en point d'interrogation. Le pire qui puisse vous arriver est la demande d'explication. Mon oncle viticulteur devait connaître le langage agricole, et avec candeur, j'ai employé le mot " copulation" inconnu de mon oncle et de ma tante. " Comment sortir de ce merdier?". J'ai jeté un regard interrogatif sur ma cousine médecin, leur fille. Elle vola à mon secours, ma gêne ayant été perçue par mon oncle et par ma tante.. Je crois avoir employé le mot " copulation", cette galipette se faisant sous la bénédiction de Guy Gilbert en l'honneur de ces jeunes qui baisent comme des castors!!!
Ma cousine réussit à transmettre un mot compatible avec le dictionnaire de ses parents.... Le soir, tandis que nous nous souhaitions " Bonne nuit", mon oncle me regardait avec un pétillement savoureux intense de bleu qui ne me laisse pas indifférente ( non, l'oncle et sa nièce furent très sages). Un tel échange de regards éait mille fois plus jouissif que les histoires de castors! " Comment tu dis?" entama mon oncle frôlant le fou rire... " Coopérer? "....et le fou rire précéda les (oui "les") plumards!!
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Lecteur, jamais mon père ne m'avait dit que j'étais intelligente!!!!