mehareesdemaryam
Blog à part,il convient d'être davantage soutenu quand tout s'effondre
Malade, ne tenant pas debout, je sens la violence de l'épreuve. Blog à part, il convient d'être davantage soutenu quand tout s'effondre. Pas d'angélisme : cela ne sert à rien. Malade et isolée au maximum : ce n'est pas normal ! Je bouffe des médicaments. Isolement à hurler, à crever. Je n'admets pas que l'on me jette à la poubelle. Si vous fonctionnez ainsi, ne faites pas semblant de m'apprivoiser. Vous êtes assez intelligents pour entrevoir le carnage que provoque ce type d'attitudes. JE DETESTE LA SUPERFICIALITE ET COUPER LES PONTS AVEC DES AMIS EN FAIT PARTIE.
Ayez la correction de ne pas aller à l'enterrement dont vous êtes complices. Liza, tu as plus de trois mois, donc selon St Thomas d'Aquin, tu as une âme ( ce raisonnement d'ivrogne est dans les trois tomes de la Somme). Je sais, je sens que tu as une âme. Je sais que tu souffres mais n'en suis nullement coupable. Il y avait un beau bénéfice secondaire, en jouant à déconner la nuit. La mort rôdait comme elle le fait aussi pour moi. Je n'ai cessé de te soutenir, ai passé des nuits à t'empêcher de te suicider. Tu bricoles ta survie et tu as raison. Viktor Frankl avait noté en camp de concentration que les plus costauds n'étaient pas les plus maigres (non,pas d'anorexiques en camps de concentration), mais les plus aptes à établir des relations de coeur à coeur, à vivre selon Le Sens de leur vie dont la tension vers un but ennivrant ressucite (se relever en hébreu), et l'amour .circulant entre eux tissait une matrice protectrice.Liza, merci pour ta fidéliré. Marie(femme deDidier), merci de m'avoir éloignée de Didier sans m'en donner la cause.
Quand la nuit spirituelle se fait chemin.
Silvio, ton regard m'a bouleversée dès que je t'ai rencontré pour la première fois, un regard vif et profond comme Le Brasier Ardent que tu laisses diffuser, à ton insu. Ton coeur et ton intelligence marchent côte à côte, la seconde s'affinant et s'adoucissant dans ce regard où tu laisses Le Brasier Ardent prendre le pas devant tes deux éclopés. J'ai entendu ton désir de recevoir des mails de ma part, mails que j'avais interrompus de peur de te déranger.
Silvio, tu as senti combien je forçais ma carcasse en allant à Chartres.Je ne pouvais pas donner plus sans tomber dans les pommes. Je n'ai pas avoué que j'étouffais et que c'est cela qui s'approchait de ma carcasse, au point de vous angoisser avec quelques passages au " point mort"!!! Nous nous étions déjà repérés mais notre registre n,'est pas celui des sens ni du tohu bohu de nos émotions. Nous plongeons au-delà, et je reçois avec curiosité émerveillée l'éclat de ton regard qui évoque celui de Mère Teresa aspirée par La Consécration. Elle avait raison de ne pas vouloir que " sa nuit spirituelle" soit transmise aux autres, parce que toute nuit spirituelle doit se jauger avec le bon système de mesure. Nulle étude n'a été rédigée sur le croisement du regard se consumant de Mère Teresa et l'expérience de Jean de La Croix, étude qui serait bouleversante comme le fut pour moi la prudence comparative d'Henri Caffarel au sujet de Camille C avec Jean de La Croix ( Camille C ou l'emprise de Dieu, ed Feu nouveau, livre composé d'échanges épistolaires et complété par une analyse de la personnalité spîrituelle de CamilleC.).
Jean de La Croix a choisi l'expression et l'analyse de ses nuits obscures : je n'ai pas trouvé de plus belles ni de plus claires esquisses de ce qu'est la nuit spirituelle.
Non au tohu wa bohu de l'émotion lâchée en feu d'artifice.JE suis dans la crypte.
" Vous n'avez pas l'air d'être bien "! " Oui, je sais ". Tout l'organisme flanche : j'implose. J'entends vos borborygmes : " va voir un psy". Plan pourri : les défenses précises, mises en place au début de la vie sont le socle de votre corps, de la sculpture de vous-mêmes. Lorsqu'un enfant résiste à la torture, il sait pourquoi.Sa grande maturité n'est pas encombrée de théories, d'a priori. Il sait quand il a peur et se protège. Il sait quand il est triste et comment il fut détruit par étapes en vertu de la nécessité de faire du" tohu wa bohu" (sic dans La Genèse). Vacarme émotionnel sur ordre de psychothérapeutes... et appel des flics par les voisins terrorisés qui ont besoin de défouler leur peur sur un coussin ( gestalthérapie!!). Il fait du bruit, le voisin mais il est torturé par le réveil de votre tohu wa bohu.
Tout cela est très sérieux et votre quotidien en souffre. En faisant sauter vos rempards, en ouvrant la forteresse (Bettelheim),des amateurs sans formation suffisante peuvent vous briser. Eglises, mosquées, synagogues, loges maçonniques, sectes en tous genres, vous ouvrent l'espace et le temps d'ETRE, sereinement, où des gouttes d'eau vous offrent une onction thérapeutique. Monte des entrailles de la terre, une voix parfaitement centrée, voix qui vous porte le jour où votre désespoir ne l'entend plus. Dans un hurlement de la terre, vous reprochez à La Voie comme à La Voix de vous avoir laissé crever.Dans une infinie délicatesse , La Voix et La Voie ne sont plus qu'une immergées dans le mouvement par lequel elles vous font entrer dans le monde de l'infinie confiance dont vous ignorierez l'existence. Une seule trace de pieds là où vous crûtes périr. Vos regards se croisent entre stupéfaction du néophyte que vous êtes, et ..., et... (où sont les mots?). Ce regard plus que maternel vous dépose l'onction de La Vie, soit du DON qui est là, que vous le sentiez ou non.
De quel droit les médias font-elles de l'humour et du fric sur un viol non totalement consenti?
Ai-je bien compris la conduite et l'inconduite de DSK ? Il me semble avoir entendu qu'il était responsable mais non coupable, ou l'inverse et s'exprime avec l'aisance de gosses gueulant : " Ce n'est pas de ma faute. C'est elle qui voulait - point exact pour une fellation si professionnelle. Les Etats Unis l'ont humilié au point que le suicide l'obsédait... Mais Cyrus pris de peur a fui avec des gémissements inévitables. Notre Cyrus famiial a été fort bien élevé, et devant l'hystérie médiatique n'aurait tenté ni le regard doux, ni le clin d'oeil aux copains... DSK semble nous regarder en riant : " Je vous avais dit qu'il y avait consentement de l'héroïne du Cantique des Cantiques. Madame, depuis avant le commencement du monde (traduction exégétique correct, chez Jean), vous êtes allée de " piège à cons", "en pièges à cons", bien que dans de telles circonstance, il ne soit plus question de " con" dans . Madame Nafissatou, reprenez-vous ! Vos avocats sont nuls!
Notre DSK est un petit futé. Il a pris les commandes du paquebot pour remonter d'une affaire glauque, mendiant l'amour des français (Il y a des histoires plus croustillantes autour de ces trois lettres. Nafissatou, je vous donne un cours privé destiné à la préparation du " garde à vous"...). Madame, je n'admettrai pas que Les Etats Unis vous ramènent à la frontière en raison d'un éventuel mensonge de future réfugiée!!!Même DSK prendrait votre défense sur ce point si cela lui était possible. Depuis quand un mensonge est-il un délit relevant des institutions pénales ? Oui, Madame, Monsieur DSK a quelques soucis dus à l'âge (?), a une radiothérapie (?), à...? Secret médical ! Madame, DSK gagne parce qu'il a le soutien des humoristes.. Vous auriez pu attaquer en justice pour position 69 inachevée. Vous n'auriez jamais dû jouer la victime illettrée, qui, in fine, est alphabétisée. Songez au redoublement orgastique que votre mauvaise défense engendre (terme volontairement choisi) en DSK !
Madame, nous avons un logis de transit si la nécessité de vous réfugier ailleurs s'impose. Notre regretté Cyrus, labrador au regard tendre a laissé une nîche classée à l'inventaire supplémentaire des Monuments Historiques !!!
Echo de la traversée primordiale.
Nous sommes allés à Chartres, à pied,dimanche. Bien qu'ayant des séquelles de mes dernières chutes, j'ai voulu partir avec le groupe que j'ai suivi par L'Opération du Saint Esprit. Je forçais jusqu'au risque de tomber dans les pommes. Une femme ostéopathe est venue m'aider.J'indiquais où je souffrais mais elle le sentait. Un fou rire nous a rejointes tandis que rien ne marchait normalement dans ma carcasse. Très sensible, je recevais de son moteur à essence. Il nous fallait descendre jusqu'au fond du coeur profond ou tréfonds. Je me baignais en cette eau miraculeuse dans le désert. De joyau en joyau, l'univers me pénétrait totalement, et à la mesure de mon ouverture intérieure.
Et je vis sur plus d'un kilomètre un chemin de feu avec une sorte de houx flamboyant. Marchant, émerveillée, je traversais : LA MER ROUGE. Nous étions très en colère contre Elohim qui nous donnait un mets de bas étage ( la manne: de " mannou?" quelle est cette chose). David avait dû se tromper : le festin du roi devenait indigne d'une offrande donnée en temps de disette !!! Mannou? Même un esclave le refuserait. Il était temps de s'occuper de l'intendance. Il fallait un dieu fort dopé à la potion magique. Ne nous metterait sur la voie que le veau d'or offert à Elohim. Dieu ou pas dieu, il faut des sous et il convient de manager.David réduit le veau d'or en poussière rejoignant les grains de sable et Leur Infini. Ciel, c'était SA ROUTE, celle de la brise légère, celle qui se consume en Brasier Ardent, réveillant des braises endormies.
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Je vous entends : " elle a bien cherché la merde", ceci sans connaissance du dossier