mehareesdemaryam
Pourquoi m'avoir abandonnée?
J'ai tout fait pour être fidèle à certains internautes qui m'ont laissé tomber. Je suis malade, souhaiterais un peu de présence...Oui, j'ai joué le jeu, présente aux deux lorsqu'ils étaient en phase d'union, présente à tour de rôle auprès de l'un ou de l'autre lorsqu'ils étaient en rupture. Depuis février 2010, je n'ai rien compris, ai demandé pardon pour des fautes non commises. Vous avez deviné que je vous parle de Didier et de Liza.
Didier a des problèmes de santé et ignore sans doute tout de mes épreuves actuelles. Sa femme coupé les ponts, me semble-t-il, lorsque j'ai dit non à une relation sexuelle à trois. Je n'avais que des idées d'étudiant chahuteur et ne prenais pas au sérieux nos échanges. Je me souviens d'un cours de santé publique où j'ai déchaîné les amis dont un étudiant béninois médecin qui me voulait comme deuxième épouse, lorsqu'épuisée par les questions stupides de l'enseignant pour stopper le paludisme, j'ai lancé : "Il faut conscientiser les anophèles". Mon béninois ravi de ma trouvaille, la transforma en slogan. J'ai toujours déclenché des fous rires. Un enseignant en nutrition a perdu les pédales à cause de mon rire sur les petites graines!!!!
Mes blogs seront interrompus lorsque j'irai chez mon père. Il est possible que ce soit le point final!
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Isolement dangereux sur terrain cardiologique inquiétant
Pas de traces d'humains ni de bétail : je ne suis pas sur la bonne piste. J'avance à la boussole sans pouvoir me servir de l'unique carte que j'ai le droit d'avoir, une carte au kilomètre. Ce serait pour protéger les militaires.... Je n'en ai pas vu un seul. Le désert pour une femme seule peut être très dangereux.
"Ils sont tous partis " disait, jadis, la standardiste, très bonne information qu'aucun cambrioleur ne posséda. Et moi, j'erre seule sur ma piste : ce n'est pas normal. Mon compagnon m'a quittée. Je ne l'ai pas vu fuir.On me laisse crever. Qu'ai-je fait de mal? Rien mais le destin a barré ma route.
Isolée à ce point, je ne puis survivre. Je dépéris. Ma douleur cardiaque me jette à terre.
Petits soucis.
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Quand la blessure est trop dure, il convient de se défendre( mais ce n'est que virtuel)
Tous savent que je suis trop sensible et il est donc dangereux de dire des ânneries sur moi. Je fus sidérée de ce que j'appris après qu'une femme se soit imposée dans mon logis. Elle a répandu un paquet de saloperies sur moi. Si je n'étais pas sensible, si je sortais de ces formations qui conduisent à se surévaluer, je n'aurais pas été atteinte.
Elle est laxiste la conscience des protestants, en ce cas. Néanmoins Lytta Basset est très lue chez les catholiques. Elle a beaucoup écrit sur le pardon, sur le non-jugement. Elle est pasteure protestante. Il faut un sacré culot pour croire que l'on a une conscience supérieure à celle d'autrui ! Je ne me permets pas de comparer. Chacun vit ses tourments, ses soucis, les moments de sa vie où pour se protéger, il commet un acte contraire à sa conscience.
Travaillant souvent en des lieux multiconfessionnels, notamment en exégèse, je n'ai jamais entendu de protestant dire que sa conscience était supérieure à celle des catholiques. Un test dont les chiffres ne sont pas répertoriés, dont j'ignore s'il avait des questions sur la conscience m'a été présenté sans un iota de charité! Alors, la conscience des protestants....
Pour illustrer le pardon, le dieu des chrétiens étant " pardon", il y a la parabole de l'enfant prodigue reçu avec faste alors qu'il rentre sale, misérable, ayant terriblement souffert. Rembrandt a peint " Le retour de l'enfant prodigue". Le chrétien sait qu'il déraille au fil de sa vie et il n'y a pas de tribunal intérieur pour répondre à ses questions et le terme de conscience est mal employé. L'humain ne peut rien par lui-même. S'il se laisse illuminer, irradier par Le Brasier Ardent, sa boussole le conduit à suivre ce Brasier Ardent du Pardon. Nul ne peut être juge et partie donc nul ne peut parler de sa conscience sans exprimer une ineptie.
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Qu'il est dur de tuer pour ne pas être tué...
La nuit fut rude.La jeune femme restait en choc depuis ce que John lui avait dit sur la femme serpent. Comment aurait-elle pu imaginer un tel degré de méchanceté ? Secouée de vomissements de bile, elle la voyait avec son rictus de mépris. Grande et laide, couverte de boutons, elle détestait les femmes heureuses en amour. Bien entendu, ceci ne lui était jamais arrivé.
Le jour s'était, à peine, levé, en cet endroit où la tempête formait un nuage épais, rose, et le vent gifflait les amants avec des grains de sable. Maryam craignait que les cieux vengent la femme serpent. Son amant la rassura : " Ne crains rien. Nul ne défend les êtres maléfiques qui ont fait un pacte avec les schaïtan ".
Le vent tournait et la tempête avait une allure de tourbillon dont il était très difficile de se protéger. Des quintes de toux trouaient l'atmosphère, le tourbillon déjouant toutes les protections du chèche. Ce vent devenu fou n'était-il pas une réponse du serpent femelle? Qu'il est dur de tuer pour ne pas être tué.
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Je suis seule à en crever : les blogueurs ne sont pas très causants...