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Nul ne peut plus tenter de tuer cette femme persécutée. Son bien-aimé la protège, jusqu'à la transe.

Nul ne peut atteindre Maryam et la détruire. John lui donne les clefs de vie accompagnant son initiation au sens africain du terme. Il l'aime et elle en est bouleversée. Alors elle peut poser sa tête fatiguée contre son coeur et de ses mains, il la protège, songeant à " La Cathédrale" de Rodin.

Pour que plus jamais elle ne soit attaquée par la bassesse, il a tué la femme-serpent selon ce que les dieux lui ont enseigné. Il fera de même, pour toute brute qui joue à blesser cette femme trop sensible qui porte des soucis trop lourds pour survivre aux attaques de bas étage.

Le soleil les quitte après son dernier feu d'artifice flamboyant en orangé puis en rouge tandis que le sable et les rochers bleuissaient. Le brasero est allumé et bientôt seule la braise incandescente conversera avec les étoiles. L'eau bout en cet instant sacré où le jeûne est rompu. Ils n'ont que le thé pour survivre. Ils sont de la race des élus sur qui Dieu veille.

Trop éprouvée par la méchanceté de certains humains, Maryam tremble blottie dans les bras de John. Le froid se jette sur eux après la dernière berceuse du soleil.  Pourquoi s'attaquer à une pauvre femme lorsque l'on ignore tout  du froid glacial du désert? Elle ne peut pas s'endormir. Larmes d'yeux bleus océan et larmes d'yeux couleur charbon se mêlent, sont léchées mutuellement. Il est bon qu'elles soient salées dans l'austérité de la vie des amants.  Comment retrouver la sécurité ? En un corps à corps qui ne forme plus qu'un corps de la danse à la transe, ce que les humains qui ont choisi la ténèbre ne connaissent pas.

 

Interlude de gestion simple pour pauvres!!!

Certains de mes lecteurs non fortunés peuvent tirer profit de ce que je vis, en ce moment, sans chéquier et avec presque pas d'argent ( c'est bloqué) bien que le compte soit provisionné. Je paie mes factures par chèques mais j'ai dû utiliser le TIP et le RIB au sujet duquel, j'eus une conversation drôle avec un de mes cousins. Notre hérédité de sourds nous inquiète. Nous fûmes de grands complices, enfants et mon cousin avait donné mon nom en surnom à son ours. Nous prîmes un fou rire quand j'entendis au téléphone " un imam", ce que je répétais, interloquée !!!! Je découvris L'iban, beaucoup moins important que le vénérable cheikh.

Mes bonnes habitudes de jeunesse sont à reprendre. Je suppose que la détresse m'a joué un mauvais coup ces derniers temps. La comptabilité est foncièrement enquiquinante! Lorsque vous êtes sûrs de votre solde bancaire, ceci arrivant après des plongées déficitaires dont la banque se contrefout puisqu'elle récupère du fric. Partez du solde sûr, et à partir de là, déduisez tout chèque émis, tout paiement par carte si vous en avez une, ce qui n'est pas mon cas parce que je suis trop pauvre, tous vos retraits d'argent liquide, et utilisez ce dernier pour payer votre quotidien. Simple et efficace. Pour les pauvres, c'est suffisant!

Au fait, Patagonia, si tu me lis, je ne suis pas certaine du terme " point mort" en comptabilité française. Il me semble que l'on calcule le point d'équilibre en France, ce qui est plus optimiste !!! Nous sommes trop pauvres pour utiliser ta science.

 

Le doigt posé sur la roche ocre Maryam déchiffre les signes. Elle en tremble et s'évanouit.

Le doigt posé sur la roche ocre, Maryam tente de déchiffrer un mystérieux message. Il lui apparaît impossible de le décrypter en avançant de gauche à droite. Elle suit, à nouveau, les pictogrames de droite à gauche. Il lui semble découvrir le mot " amour". Son regard interroge John qui confirme d'un clin d'oeil. Il la laisse découvrir, car chacun doit tracer sa voie (en parallèle du dernier article sur overblog).

Sous son doigt apparaît " mort", "meurtre", " désespoir", "folie", et elle sent tout tourner s'effondrant évanouie sur le sable. La peur l'a envahie et elle en fut comme morte. Elle ne savait pas qu'elle abritait en son sein ces mots terribles et qu'il fallait avancer lucidement, en ne leur laissant aucun pouvoir. John avait fait partie du mouvement où l'on se cache dans une coule blanche de maçon : cette étape était sur son chemin vers sa voie.  Maryam convulsait sous le poids de ces mots et John l'apaisant avec une infinie douceur murmura à son oreille, comment n'être jamais prisonnière de ces mots.

Il la prit dans ses bras comme s'il devait l'apprivoiser lui rappelant les mots " douceur" et " tendresse" qu'elle  avait découverts. Elle tremblait encore. John la porta à l'ombre des roches loin du sable encore brûlant à cette heure, et ses caresses se firent de plus en plus fermes sur le corps qu'il dénuda, et pour stopper les tremblements de peur, entra jusqu'au fond des entrailles de cette enfant terrorisée. Il la conduisit jusqu'à l'ivresse, et ceci pendant plusieurs heures, pour apaiser sa peur et la rassurer sur la voie qui était sienne.

 

Et la femme-serpent fut exécutée selon le rituel avant la reprise de la danse et de la transe.

"Que fais-tu?" demande la femme enfant à son amant qui réduit à néant un serpent femelle. "Elle est très dangereuse et désormais, je te protégerai ". " J'étais en danger?" " Oui, cette femme est jalouse de toi et les dieux l'ont condamnée à ramper en serpent. En songe, cette nuit, j'ai entendu que je devais la tuer." " Mais pourquoi l'écrases-tu en miettes? Elle est morte. Elle n'existe pas". D'une voix grave, l'amant répond : " je suis les consignes des dieux". Il s'affaira autour du serpent en rites encore plus complexes que ceux du culte vaudou. Il paraît qu'il convient  d'agir ainsi avec les infidèles. Le tout brûla afin qu'il ne reste nulle micro-élément de cet être maléfique.

" Elle était si dangereuse que  ça "? demanda la femme-enfant. " Oui, je n'ai jamais eu à exterminer quelqu'un selon ce rituel". " Tu la connaissait?" " Non, tout me fut révélé en songe. Elle appartenait au monde des shaïtan". " " Pourquoi détruire toute trace d'elle?" s'étonna l'adolescente de onze ans. " Parce qu'elle refuse et ignore l'amour, parce qu'elle ne sait pas se faire aimer " " Mais c'est très triste. Il ne fallait pas lui faire de mal!" "Elle voulait te tuer ".

" N'y pense plus. J'ai fait mon devoir". Il prit la femme-enfant dans ses bras la rassurant quand elle se mit à trembler de peur de ressembler au serpent femelle.... Et la danse devint , à nouveau transe en cet amour offert entre eux et à l'univers.

 

Interlude ou tentative de meurtre virtuel de ceux qui veulent me tuer

Que puis-je comprendre à la haîne qui habite certains internautes? Il me faut les détruire : c'est la loi du désert! Entendons-nous bien  : il suffit de les tuer virtuellement. Il y a une femme faux jeton comme un chat qui officie au département de la quincaillerie. Non, ne me dites pas de faire sombrer sa boutique : ceci n'est pas convenable. J e voudrais qu'elle sache que j'aie été très choquée d'avoir droit à sa vie privée, ses bonheurs et ses malheurs, parce que j'étais une femme fatale et non Bobonne. Il n'y a pas d'effet sans cause : à elle de trouver la clef de l'énigme.

" L'amour, ce n'est pas la quête du Graal" m'avait -elle dit comme si je n'en savais pas plus long qu'elle sur l'amour. " Elle est très commune " aurait dit ma mère, et c'eut été une vacherie sans nom. Si elle ne jouait pas à me casser, je ne me défendrais pas. Elle n'a jamais accepté de tenter le chemin du pardon. Je dois être protégée de cet être maléfique.

Il y a deux personnes dont je n'ai plus de nouvelles mais qui savaient pardonner. Je voudrais simplement savoir comment ils vont.

 

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