mehareesdemaryam
Harcelées, prisonnières de ceux que nous rencontrons, nous ne prenons pas soin de nous-mêmes
J'essaie d'y voir clair d'où une auto-analyse sur overblog, mais j'ai encore mal. Répond en face la douleur de ma fille. Ne nous mêlez pas à DSK and cie. Nous sommes candides, ne voyons pas le mal, voire le nocif pour nous -cherchant à tout comprendre. Notre réaction est forte au moment de la vision claire des faits.
Aussi bêtes l'une que l'autre, nous sommes des mendiantes d'amour et ne parvenons pas à le cacher. Nous sommes mûres pour le premier piège inconscient de la part d'un autre également blessé. Je ne cesse de penser que ma fille a des tendances suicidaires avec un système violent comme pour se punir. J'ai les mêmes pulsions ou tendances...
Devons-nous nous sentir coupables de chercher à comprendre chacun ? Non, c'est un aspect digne de notre personnalité. Nous avons le même défaut : nous ne voulons pas accuser autrui comme par peur de le blesser. Notre douleur est entre parenthèses, et nous croyons cela inévitable. Nous ne condamnons pas autrui dans sa totalité ce qui serait stupide et injuste. Nous ne réduisons pas les personnes que nous connaissons aux blessures dont elles sont l'origine. Nous leur laissons leur totale beauté dans le secret sacré de leurs coeurs.
Nous n'avons pas appris à nous protéger mais plutôt à venir en aide aux personnes souffrantes. Quand deux individus ont le syndrome du sauveur, ils prendront des risques en se rencontrant. Il me semble qu'hier ou avant-hier, j'ai rédigé un article sur l'art de se sortir de l'épreuve, le premier point étant de se respecter et de s'aimer.CQFD
Il me semble que j'ai été victime d'une forme de harcèlement
Il me semble que j'ai été victime d'un harcèlement moral imposé par des malades psychiques, des personnes aptes à mentir sur des choses qu'elles m'ont confiées auparavant. Je n'avais jamais rencontré ce stade de pathologie sexuelle.Internet m'a mise en contact avec des individus que j'aurais fuis dans ma vie. Il y eut des sadiques, espèce que je ne connaissais pas. Je reste en choc.
Les femmes se sont avérées être les plus perverses, le peintre ayant toujours reconnu ses erreurs et ayant un côté mystique. Pour évacuer tout ceci, je suis en plein rangement. Comment ai-je pu être embarquée ainsi? Il me semble avoir vu que des personnes en quête d'amour et d'amitié étaient plus facilement des proies pour des individus qui ne sont pas conscients de ce qu'ils font. Que j'aie osé dire "non" à une proposition de relation à trois a provoqué des réactions atterrissant sur mon ordinateur foncièrement dégoûté.
Il me faut sauver ma peau. Je suis lessivée.
Ebats rabaissant le débat...
Où avez-vous appris à donner des détails sur vos sécrétions intimes ? Où avez-vous appris à raconter que ce qui se passe au boudoir, dans l'alcôve...? Lorsque l'on donne des détails anatomiques comme des détails sur des sécrétions, vous ne faites pas du tout preuve d'amour envers votre mari ou votre femme.
Que cela provienne d'un plan Q comme celui d'Ophélie est différent parce qu'il n'est pas question d'amour profond. Ophélie a un très beau style littéraire. Je ne sais plus ce qui déclencha nos fabuleusx au sujet de Planck et des origines du monde Il est salutaire de percevoir que je ne supporte pas les détails de vos ébats. Une amie était venue squatter chez moi tandis que j'allais chez des amis. J'allais reprendre mon boulot de nuit à l'hôpital. Epuisée, j'ai eu envie d'une pause de repos ( et basta!) sur mon plumard!!!!
"Templûm, templûm, templûm". Mon père écoutant son fils, et nous étions tous là, si bien que la scène suivante augmente en comique. Effaré, mon père a levé les bras au ciel. Je pense qu'il dut dire aussi quelque chose, mais le fou-rire démarra par ma mère et ses autres enfants, atteignant mon père. Plumard : templûm. Association d'idées...
Mon amie squatteuse avait utilisé cinq paires de drap, et bien sûr mon plumard, en trois jours. "Templûm"....J'ai viré au vert, ne pouvant pas parler ,sous le choc de cette affaire. Je suis aller au lavomatic.. Je lui avaits interdit de ramener des mecs de la rue pour ne pas avoir d'ennuis avec mon proprio. L'histoire s'acheva en un épître où j'ai écrit : " Je ne veux être témoin ni visuel, ni auditif..." Il y avait un autre terme dans la série. Mon amie avait trente ans. Ceux qui m'ont choquée ont soixante ans!
A mon grand âge, je pensais ne plus avoir à rencontrer des détraqués !
En fait ce " web" est effroyable. Je ne souhaitais qu'apporter à Didier un peu de joie, certains écrits. Je reste enfant. Je crus que nous étions dans un chahut d'étudiants quand je devais rallumer la flamme de la femme de Didier par des articles que vous avez pu lire sur ce blog, dans des échanges de mails. Pour moi, ce n'était pas sérieux. J'avais l'impression de jouer à faire rire ma filleule comme lorsque lui ai envoyé des mots osés pour son âge : " Planque ton matos. Ta mère me téléphonne sans arrêt". Et le matos était des revues people prises pour des revus pornos pour la mère. Nous avons bien ri, SAINEMENT, et là, je suis tombée sur des détraquées sexuelles.
J'en suis blessée au point d'en pleurer. Cela n'a rien à voir avec l'amour : " c'est du frotti, frotta" expression de Dolto.. Après chaque acte sexuel du couple, j'avais des détails que mon ordinateur porte en croix. Je ne veux pas connaître les détails de la vie sexuelle d'un couple. Liza, il ne s'est rien passé. Lors de proposition à trois, je n'avais pas pris les échanges sur ce thème au sérieux, j'étais toujours l'étudiante qui plaisante. Je ne sais plus ce qui m'a alertée. J'ai envoyé un mail pour dire que je refusais ce genre de choses. Je devins presque une variété d'assassin.
Dans "Casimir mène la grande vie",Jean d'Ormesson me semble se trouver dans le jeune Casimir. Le spécialiste du "filioque" rédige sous pseudonyme un roman porno dont trois à quatre pages dans son roman sur Casimir, mais il clôt l'affaire en disant que c'est inintéressant, et que rien de nouveau existe depuis Adam et Eve. Comprenez-vous que je sois en choc?
Le musée des cochonneries.
Il n'y a pas eu beaucoup de lecteurs pour l'article précédent. Je suis dégoûtée par ce qui me fut dit et par ce qui me fut montrer en photographies par internet. J'ai été au magasin des horreurs dont se servent les détraqués pour leur vie sexuelle. Oublier ces horreurs, oublier cette bassesse...
Je vais reprendre le livre que j'étudiais, hier. Pas un centime d'euro. Ils sont riches les autres?! Je ne crois pas au diable mais il y a un côté diabolique dans les cochonneries. Je vous épargne les descriptions : c'est plus dégueulasse que ce que j'ai vu dans les boutiques de la rue St Denis à Paris. Je crois que le plus horrible est d'entendre une femme dire qu'elle jouit avec ces horreurs.
Pardon : je suis en choc! Cela ira mieux plus tard.
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Je ne vaux pas un centime d'euro puisque mon expertise bénévole m'est encore demandée bien que je n'ai pas un euro en poche!