Merci à tous ceux qui sont passés. Des lois prévoient l'aide intra-familiale mais elles peuvent se heurter à de nombreux facteurs dont l'âge des ascendants et l'âge des descendants, ainsi que leurs limites financières. Pas de solution pour moi. Songez que je bénis Raska pour ses paroles alors que je trouvais un centre d'études, totalement dans mes cordes,notamment avec des diplômes dits inutiles par des ignorants. Je me permets de donner quelques détails en écho à une femme qui s'est vantée d'avoir 168 de QI, soit davantage qu'Einstein. Mon expérience est que le résultat n'est pas le même selon les tests, l'état du testé...

Pourquoi me reprocher d'être chercheur et d'avoir en ce domaine, une expertise fiable? Quand un organisme fait une étude auprès des sans abri avec qui il faut l'apprivoisement, l'écoute, et presque l'immersion dans leur univers, il travaille comme je le fis au Caire auprès des chiffonniers, et en France dans de nombreuses études auprès de sans abri.Ma méthode est un mélange d'observations du mode de  travail de centres d'études où j'ai travaillé, la formation de L'Ecole des Hautes Etudes spécialisée en recherche et une touche personnelle qui consiste à me projeter dans le champ de recherche et à m'interroger sur la légitimité de ma parole, un des points qui bouleversa un jury me donnant la plus haute mention et les félécitations du jury. Il me fut dit que puisque j'avais si bien réussi, c'était nul et je l'ai cru.Bien que n'étant pas ethnologue, j'en ai des qualités. Je suis économiste ( avec le maximum de mathématiques, probabiités, statistiques possibles, jusqu'à la maîtrise. En doctorat, on vole plus haut. Et avec le maximum de droit possible en tant que fille d'un fondateur de centre d'études juridiques) formée en santé publique et nutrition  à visée internationale pour les pays qui connaissent la famine et pour les français qui la vivent. J'ai un parcours en bioéthique via la génétique où je fus guidée par un chercheur, le droit qui était en moi (juste une affaire de méthode), l'éthique qui est  l'art de se remettre sans cesse en cause... Et j'aime la recherche dans sa forme d'application au terrain, dans sa confrontation à l'humain, dans son corps à corps avec la réalité.

Songez que je suis aussi sculpteur et à l'influence de l'art dans un métier qui demande d'observer et d'écouter.. Profil totalement atypique : oui. Profil méprisable : pourquoi ? J'ai eu plusieurs missions en raison de mon coktail de formations et de compétences. Hier, j'ai bouffé des médicaments, acceptant le destin. Je ne me prends pas au sérieux : je n'ai cessé de croiser plus compétent ou plus intelligent que moi.

Mon père n'est pas en état de m'aider (rappel : phase terminale d'insuffisance cardiaque). Mon frère aîné, le seul qui a de l'argent, refuse de m'en prêter.

En écho aux diplômes dits inutiles : le fond de la question est une crise économique effroyable. J'ai voté contre Maastritsh, lisant article par article, cochant mes questions sur des points qui ne me semblaient pas clairs et ne l'étaient pas. J'aurais voté contre l'euro, mais nul ne m'a demandé mon avis. La Grèce s'effondre, la pandémie se répand. L'euro disparaîtra mais que se passera-t-il pour les pays dotés du franc CFA?

Pour Anonyme, je ne comprends pas vraiment le sens de ton commentaire. Isabelle Eberhardt était épuisée par la vie qu'elle avait menée. En outre, elle avait perdu plusieurs frères qui se sont suicidés, jeunes. Mon propos ne signife qu'une seule chose : quand l'austérité prend le dessus, le sujet sait qu'il résistera plus facilement s'il est jeune. Isabelle Eberhardt ne se trouvait pas jeune.

 Elle avait frôlé plusieurs fois la mort,  et notamment lors d'une tentative de meurtre. Isabelle Eberhardt a toujours lutté mais n'émergeait pas de la misère. Bien entendu, elle ne s'est pas suicidée et n'a jamais tenté de le faire. Ma phrase ne signifie qu'une chose : elle n'avait pas les moyens financiers de vivre plus longuement..

Anonyme, je crois que ton commentaire n'a pas encore paru bien que je l'aie validé. Merci parce que je suis fascinée par Isabelle Eberhardt.

Qui s'est caché sous le pseudnyme " Emmanuelle" : Raska ou Elisabeth? J'étais en contact avec Didier et Liza , et vous avez décidez que c'était un grave péché. Vous ne les connaissez pas...

Je ne sais pas pourquoi j'ai dû subir un tel lynchage. Les commentaires de Raska sont à leur place sur overblog, du 12 au 15 mail. Ils m'ont permis de louper un emploi.. Nul n'avait à guider ma vie ni à tenter de le faire lorsque je n'avais pas sollicité de l'aide : Pascale me donnait des ordres sur les gens qui fréquentaient mon blog comme sur mes écrits.

J'ai avalé des médicaments et vous le savez. Je suis tachycarde : ce n'est pas dangereux. J'ai aussi des contraintes d'horaires, et cela ne marche plus depuis des mois.

Sur overblog, allez voir l'article du 10 juin 2011 sur le manque de confiance en soi et la belle réponse de Marie.

Pardon : je m'écroule. Vous ne le saviez pas : la mère de ma filleule paniquée m'appelait plusieurs heures par jour. Epuisée, je n'ai pas censuré ma réponse, il y a déjà un moment : " je vais en crever"., réponse non entendue. Le corps médical ne pose nul diagnostic sur moi. Dépression ? Il n'y a rien d'offensant dans cette réalité.. Je ne peux pas porter le monde sur l'univers. Je me laisse guider par le corps médical, à qui je pose des limites quand je suis en danger.

Sachez aussi que le coach qui est dans la misère me propose des entretiens gratuits. Hier, nous avons eu un bel échange d'égal à égal.

Et le téléphone sonne.