Je vous renvoie sur mon blog d'oveblog pour la pétition à signer : http://elisabethdehautsegur.over-blog.com

Didier est atteint de dégénérescence maculaire, peut peindre mais ne peut plus regarder l'ordinateur. Sa femme place ses tableaux sur artmajeur : www.artmajeur.com/nessa.

Vous pouvez voter en faveur de tableaux en cliquant en haut à droite sur la petite main.

Tes larmes ruissèlent sur ton visage. Nul ne vient déposer un mot amical. Tu erres et ta douleur t'est reprochée. Alors, mon amie, sois faux jeton puisque tel est le désir de notre société. Ne t'inquiète pas des derniers soubresauts de tes blogs. Qui ricane en me lisant? Il me faut te répondre fantôme ricanant : je suis malade depuis une semaine, hors d'état de sortir de ma tente, de mon antre. Je dépéris. Toi, tu es riche. Je dois mourir parce que je n'ai pas d'argent.

" Je vais m'en fourrer, fourrer, fourrer jusque là..." ( La Vie Parisienne d'Offenbach. Mon grand-père paternel chantait " la, la, la " sur la suite que j'ai révélée à mon père). Une pincée de rire m'est douce. Famille de chanteurs, de vrais chanteurs, d'artistes (oui, même le sang bleu est artiste). Je n'ai pas joué à dépasser Einstein : ce m'eut semblé inconvenant. Décrétée surdouée, j'acceptai d'être zèbre dans le sens de la forme d'intelligence décrite. Ni mieux ni moins bien mais, autre....Einstein fit preuve d'une très grande inelligence en refusant de percer le plafond du QI. Le faire eut été d'une servilité ridicule. Penser est préférable, et exprimer sa sensibilité par l'art est élégant.. Vous ne savez pas tous de quel mépris je fus l'objet par une personne se croyant doté d'un QI supérieur à Einstein.... Si tel était le cas, comment ignorerait-elle le pardon?

Sous le choc des attaques contre mon père, je n'en ai pas parlé à Apollon qui serait horrifié, dégoûté. Sur overblog, j'évoque les propos infâmes entendus sur mon père mourant. Mes esquisses amoureuses, ici, sont issues de mon union avec Apollon, sous un voile de pudeur auquel je tiens. Une ex-participante d'aujourd'hui.com m'interrogea par téléphone, il y a deux ans sur Apollon. Bien entendu, je ne lui ai rien dit en écho à son indiscrétion! Aimer suppose une totale discrétion. Le souci me bouffe des kilos sans que je le sente. Heureusement, j'ai de la marge. Je suis incapable d'avaler.

Tes mains fermes sur mon corps me laissent sans défense, consentante, frémissante de désir, et d'un volte place, je te chevauche. Large et long, tu me pénètres d'un coup, et cette violence me met en feu, un peu en étouffe-chrétien!!! Je sais que tu ris de mon expresssion puisque tu es juif. Notre randonnée du club alpin nous laisse cette pause sur la mer de sable. Petite brune maigrichonne, je t'ai fait craquer. Mon ami, j'eus des amants africains dont le joyau avait la longueur du tien, mais aucun n'en eut sa largeur !! Me voici déchaînée dans notre transe de possédés. Attention, je gagne toujours. Tu seras fatigué avant moi! Tous les copains du club alpin sont au courant, et tu fais des jaloux....