mehareesdemaryam
Oui, moi-aussi, je craque donc je comprends, Valy!
Pascale devrait téléphoner à Valy et elle ne le fera pas. Elle n'a pas le monopole des emmerdes! Elle fut bien contente de s'appuyer sur Valy à son retour de Corse, de pleurer - ceci m'ayant été révélé! J'ai vite compris que je prenais des risques avec Pascale. Elle m'a fait tellement mal! Je n'ai jamais pu avoir confiance. Elle me méprisait!
Je suis sur le point de m'évanouir, de m'écrouler. Inutile que je craque en sanglots. J'ai besoin d'amis sincères.
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Un signe d'amitié?
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La faim dans la dignité
Je suis allée confier mon chagrin sur le blog d'Isabelle Caro. J'ai mal et nul ne l'entend. Isabelle et moi avons tant échangé, notamment, par mails. Isabelle, tu as réussi le cours Florent, une maîtrise de lettres avec mention très bien. Tu montais sur scène et était en train de tourner un film! Tu as vécu à fond, sans complaisance envers ta maladie. Tu étais une battante. Isabelle, tes amis t'ont comprise.
A Calcutta, je n'avais pas de quoi acheter des aliments. J'ai cessé de manger, pensant à tous les affamés.
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Lecteur, tu n'as pas de coeur!
Lecteur, ton attitude me conduit à songer à ne plus jamais utiliser d'ordinateur. Tu sais que je viens d'ailleurs et que sans L'Afrique, je me meurs. Ma fille longe les gouffres. Sur overblog, je l'accompagne. Lecteur, mon vrai problème est celui de l'emploi dans une civilisation qui déraille et ne sait pas quoi faire de mes deux doctorats. Ta vie est un long fleuve tranquille avec un virement mensuel. Peut-être es-tu comme ces fonctionnaires que, jeune, j'ai remplacés car j'abattais le boulot de six fonctionnaires et montais un programme informatique avec un autre chef de service. En outre, j'ai formé mon service à l'informatique de l'époque, mais je n'étais payée qu'au SMIC !!!
Si les blogs ne servent qu'à enfoncer le clou de l'échec, je les vomis, car j'ai déjà vendu ma prose et avec succès!!!!!!
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Elle erre au-dessus des falaises d'Etretat...
A dix sept ans, ne voyant pas de lumière au bout du tunnel, elle erre au-dessus des falaises d'Etretat. De son père, elle ne sait rien.Elle a une telle soif d'Absolu qu'elle s'ennuie avec son amant déniché alors qu'elle avait quinze ans. Elle doit lui cacher sa détresse. Elle n'a plus confiance en les humains : je reste un point d'interrogation. Elle devine mes limites sans bien réaliser qu'elles ne m'empêchent pas tel le veilleur de phare de prier pour elle, d'être présente lui offrant l'hospitalité du coeur. Le seul en qui elle a confiance est un chien : Balkan. Elle est comme en état second, sans avoir pris de médicaments. Elle a le pied montagnard, mais le gouffre l'appelle. Il n'y a plus d'issue. Elle dérape, ne se rattrape pas, tombe du haut des falaises, me voit et voit sa mère, puis la lumière de ce qu'elle n'entendit jamais derrière le mot dieu.
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