mehareesdemaryam
AIDEZ MOI:MA FILLEULE SOPHIANA PARLE DE SUICIDE. ELLE VA TRES MAL.
Sa mère lui a dit qu'elle allait avoir dix huit ans et qu'elle ne serait plus obligée de s'occuper d'elle, qui n'avait qu'à vivre à la rue. Sophiana a craqué en disant qu'elle allait se suicider. Il vaut mieux que cela sorte en de telles circonstances. J'ai envoyé un message à Sophiana par facebook en lui parlant de l'obligation alimentaire et des devoirs de sa mère envers elle. Je lui ai aussi parlé du suicide auquel on peut penser quand on a trop mal, et j'ai suggéré quelques solutions pour réussir. Elle est littéraire. Elle trouvera ce message chez des amis ou chez elle où elle arrive à se connecter ce que sa mère n'arrive pas à faire. Je ne comprends rien au fonctionnement de la mère.
Je suis comme L'Abbé Pierre durant l'hiver 1954 sur RTL : " Mes amis, au secours. Une femme vient de mourir dans la rue..."
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En voulant aider les autres, j'ai bousillé ma vie
En voulant aider certaines personnes, j'ai bousillé ma vie. Je ne savais pas que c'était si dangereux. Je n'ai rien fait de mal. Je ne sais pas pourquoi je ne trouve pas d'emploi. Je suis cassée en morceaux. Je suis en danger. Je ne sais pas comment sauver ma peau. Je n'y vois rien. Je suis aveuglée par la tempête de sable et son nuage rose. Je n'ai pas les moyens de continuer à vivre..
Je n'ai plus de forces, suis au bout du rouleau.
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Prends soin de l'enfant, mon bel amant...
Dis-moi mon bel amant où je peux trouver un emploi ? Dans le silence de nos étreintes , à l'ombre bleutée des roches ocres, j'ose te confier ce qui broie et mon corps et mon coeur. Serre-moi contre toi pour étouffer mes sanglots. Mes seins ont tari et mon enfant a faim. Qu'il boive mon sang : je n'ai plus que ce liquide à lui offrir.
Tel le pélikan, je lui offre mes entrailles, et j'accepte de mourir. Prends soin de l'enfant, mon bel amant.
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Au lecteur inconnu
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Rappel : ces blogs sont suspendus : je ne veux plus être accrochée à mon ordinateur.
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