mehareesdemaryam
Amours nomades sur sable ocre, chanté puis sculpté
Soudain, je plonge en Egypte, pays de douceur et de savoir vivre.Mon conjoint et moi-même parcourons des kilomètres dans le sable ocre après une baignade bien intime dans le canal de Suez, devant des turbans et des burqas. J'étais jeune et heureuse.Ma nature très sensuelle ne lui déplaisait pas, l'étonnait parfois et Isabelle Eberhardt reçut aussi des réflexions du même registre sur sa sensualité renforcée, comme chez moi, par une soif d'Absolu qui ne permet pas d'aimer à demi en petits bourgeois.
Et l'ocre savamment travaillé se ployait sous mes mains fermes, représentant chacun de nos exultet,dans une fougue puissante, enflammée. En termes de roses, cela aurait été des roses pourpres, des roses pour Carmen et ses jeux de séduction. Je ne réalise pas toujours l'effet produit par mes paroles passionnées comme celles de mon humour imprévisbles. Avec le regard, j'ai un homme à mes pieds qui me les lèche. J'aime trop jouer et m'unir pour ne faire qu'un seul corps sans exiger également la présence de tout l'être de mon amant
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Qui es-tu Fathia ? Tu es en France : parle notre langue et adapte toi à notre pays.
Tant que tu causes de gestion de blogs, tu tombes dans le ridicule des illettrés et modernes. Tu ne peux gérer que l'argent : élémentaire, mon cher Watson! Je n'ai pas aimé ta façon de vouloir fliquer mon blog et t'ai radiée sciemment de la newsletter. Les amis de Timilo sont très sympathiques. Tu as éprouvé le besoin de m'envoyer des propos indignes d'une femme de coeur.
Je ne sais pas comment tu choisis tes reproductions de tableaux mais ce sont des horreurs.Tu n'es pas digne d'entrer dans la confrérie des touaregs
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Les caprices de l'audimat et le désir de sang versé : je vous offre le mien.
Vous n'aimez pas les propos profonds et poétiques, les traversées dans le désert. Que vous me faites mal! Pour les amateurs de choses funèbres, vous trouverez sur overblog le décès de mon oncle cousin germain de mon père, à Tokyo. Vous souhaitez que je vous annonce ma mort? Vous aurez quelques cauchemars...
Que je sanglote chez moi vous est indifférent et je le comprends, mais quand je vous parle du désert, que se passe-t-il? Ce machin de blogs conduit à se suicider.
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Ralentis ton pas. Tu vas trop vite pour entendre le secret sacré. Laisse-moi te consumer.LECTEURS?
N'entre pas ici, si ton âme est entachée. Ralentis ton pas et calque-le sur ta respiration qui porte ta prière et parfois en est le seul indice. Surtout, ne me viole pas avec tes jeeps. Marche lentement. Si tu as soif,songe à mon cri intemporel et toujours là :" J'ai soif". Je sais bien que tu n'entends pas que j'ai Soif de TON AMOUR. Ralentis : tu vas trop vite pour m'entendre, alors qu'en mon " J'ai soif " se trouve le secret du sens de ta vie, secret ouvert, éblouissant. Rodin a sculpté le secret fermé en une main crispée. Le secret du Sacré est ouvert, offert.
Ne crains rien pour ta vie. Laisse-moi te guider. Tes yeux brûlés te rendent aveugle mais en cette épreuve où l'infini saharien se dit, tu ne puis avancer sans t'appuyer sur moi. Il me sembla que Rimbaud avait entrevu ces cîmes, comme chacun d'entre nous, sombrant dans la douleur et cherchant pour qui se consumer.
S'il n'y a plus de lecteurs, il me faut m'arrêter.
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Mon père est, à nouveau, hospitalisé
Comment et pourquoi Fathia me traite-t-elle d'égoïste ? Imbécile! Je n'ai pas une minute pour souffler. Nous sommes en deuil : cette année, c'est une hécatombe. J'espérais un peu d'amour, un peu de chaleur pour passer le cap. Je suis trop naïve...
La pauvre femme tient à l'audimat jusqu'à faire d'étranges réflexions, me disant que j'abandonne un poète qui obtient 20 à 30 commentaires par article. Il est dans mes amis sur overblog afin que mes lecteurs aillent sur son site.
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