mehareesdemaryam
Du jour au lendemain,je risque d'avoir à partir en urgence chez mon père.
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Du sang, du scandale, des histoires entre internautes ? J'ai écrit que mon père était en fin de vie.
De l'argile à ma renaissance ressucitante....
J'ai épousé l'argile dans un corps à corps vif, vitalisant, et même si ceci n'intéresse personne, je rentre ravie de mon cours de sculpture.
Superbe échange avec Dino, heureux de me voir en pleine forme...
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Coupure de téléphone. Ils auront ma peau!
Benoît frère de Maryam de Castagnac lui disait au sujet de leur père : "c'est la fin"
Maryam a sa candeur de jeunesse et ses valeurs d'antan. Rares sont ceux qui savent en savourer la beauté quelque peu altière. Une amie lui disait dans les bidonvilles du Caire " Où que tu sois, tu as un maintien de salon". Maryam fut très surprise par cette réflexion et demanda quelques précisions : assise sur un bidon, elle avait le dos droit, les jambes rapprochées, parfois croisées ce que sa mère, la duchesse, lui reprochait comme une erreur gravissime. Le titre que portait la mère de Maryam venait du St Empire romain-germanique qui transmettait les titres aux filles, donc la duchesse de H l'était par son propre père.
Le père de Maryam n'était que marquis : ô foudres des cieux, quelle mésalliance! Depuis son enfance, Maryam était la complice de son père. Elle n'avait pas quatre ans lorsqu'il lui apprenait la valse à trois temps en alternance de quarts de cercle, ce que ne savant pas faire les danseurs de bas étage. Il dansait,acroupi, la danse russe. D'une intelligence plus profonde et plus étendue que celle du commun des mortels, le marquis était hélléniste et latiniste, avocat aux plaidoieries brillantes. Benoît, le frère préféré de Maryam, lui avait dit qu'il ne restait que quelques semaines de vie au marquis dont le coeur avait souffert de tant de drames, de tant de strictions, de tant d'opérations...
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Sans doute est-il idiot et nocif de bloguer!