mehareesdemaryam
Pourquoi m'avoir cassée ? Il suffit d'élever le débat, et de ne pas dégouliner de sentiments!!!
Quelques points me semblent nécessaires pour exprimer ce que j'ai vécu. Les blogs ne sont pas un lieu où la confiance en soi se renforce, mais ils peuvent être publiés après une relecture et quelques coups de ciseaux. Je dois avouer qu'il est épuisant de ne pas s'exprimer avec justesse et compétences dans des domaines de recherche. J'écris, régulièrement, qu'il faut élever le débat. Je considère que mes lecteurs sont aptes à comprendre ce que j'esquisse et même s'ils calent sur un mot, ils en apprendront le sens par le dictionnaire. Je précise qu'une grande partie de mes travaux ont creusé des champs d'investigation où j'ai avancé en autodidacte, ne me sentant pas humiliée de cherche le ( les) sens d'un mot.
Je viens d'avoir un échange passionnant avec une femme dont les recherches croisent les miennes. Elle est philosophe et a roulé sa bosse. J'ai travaillé avec des philosophes africains, et je fus co-respondable d'une commission sur les concepts à L'UNESCO, le responsable étant togolais. Ce type de recherche demande à l'européen de cesser de se prendre pour le nombril du monde, d'interroger tous ses concepts en philosophie comme dans d'autres domaines. Les médecins font aussi ce type de labeur tout en finesse et en écoute attentive.
Je n'ai jamais cherché à attaquer qui que ce soit. La question et les recherches sont sur d'autres registres, et ne peuvent se complaire dans le pathos lorsque l'on évoque des régions du monde où la mortalité infantile est très élevée. Je n'ai rien compris aux conflits plongés dans le pathos et l'émoi avec certains internautes. Encore une fois " l'émotion est intrinsèquement perverse" (bien entendu, je change les termes antéconcilaires).
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Submergée par des soucis sérieux, je ne considère comme dangereux que " le virtuel".
Submergée de soucis non virtuels, je ne puis perdre de temps dans des relations dysfonctionnelles. J'ai relu l'article qui précède et qui ne me paraît pas excessif. Je souhaite à ces amis de vivre en harmonie et heureux. Il n'y a rien à leur reprocher. L'absurde arrive dans la relation virtuelle et donc, sans doute, fantasmatique.
Je ne pense pas qu'ils aient souhaité m'utiliser comme proie ou comme tiers : si cela avait été le cas, je m'en serais rendu compte
Ils sont intègres et honnêtes.
Je ne suis pas spécialiste des relations virtuelles : il semble très difficile de trouver une astuce pour sortir du virtuel. Je dois avouer que je ne comprends rien.
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Infédilité d'amis virtuels... comme si le monde virtuel était fiable!
Emmanuelle, tu avais perçu la vérité au sujet des internautes dont tu me parlas. Ils surent piquer ma substantifique moellle, le jour et souvent la nuit. J'ajouterais qu'ils n'ont pas agi consciemment. Le plus fréquemment, j'écoutais le délaissé, et plus encore, puis pour reprendre ton terme, "ils se rabibochaient" enchaînés dans un lien virtuel qu'ils vivaient comme non virtuel, avec toutes sortes de simulacres de tortures présentées de telle sorte qu'ils arrivaient à se le faire vivre eux-mêmes. Devant ce genre de faits, l'intelligence rétrograde car il est inutile de tenter de comprendre des jeux de fantasmes. Ils m'ont souvent bouffé mon énergie sans le souhaiter, mais ma sensibilité peut me conduire à ressentir la blessure d'autrui. J'ai déjà décrit des qualités et talents de chacun, et je confirme ce que j'ai dit.
Je suppose qu'un aspect de ma personnalité facilita ces excès.J'attends que ceci s'impose à moi. Tourner la page de cette relation semble inéluctable puisque personne ne répond à mes courriels. Ne regrettons pas ce qui nous a blessé et tournons la page. A bientôt?
A mes amies d'artmajeur et à tous mes amis
Et s'il y avait du bon sens dans les messages maladroits d'Emmanuelle?
Ce qui apparaissait comme frappant dans le message d'Emmanuelle concernait les limites de l'amitié virtuelle, et un appel à la prudence pour moi qui ai ouvert mon coeur, comme je l'écrivais dans un article précédent. La femme étant noctambule, je pouvais espérer un signe durant sa nuit passée, en partie, avec son ordinateur. Elle n'avait nulle raison de jouer les brouilles puisque c'est sur le site du peintre que j'ai commis une erreur sur artmajeur.
Nous fûmes trop proches tout en étant très distanciés par le registre virtuel. Nous gagnerons une grande sérénité et une paix du coeur en rétablissant une relation simple, sobre, Le choix d'une brouille est toujours pénible pour le coeur comme pour la personnalité. Comme souvent dans ces différents trop longs, je ne sais plus quelle en fut le facteur déclenchant. Il me semble que le saut dans la confiance est infiniment plus facile que lors des dialogues avec Emmanuelle. Je déteste les brouilles, et en orientale, tente tout pour la stopper.
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Comment et pourquoi des intenautes ont critiqué le coaching sans savoir ce dont il est question?