Tu te trompes en ayant peur de moi. Je suis bouffée par internet et j'en souffre. Au stade où j'en suis, il peut m'arriver un accident. Trois chutes violentes, cette nuit, avec l'impression de m'être cassé le nez. Je souffre toujours. Oui, je suis embarquée dans une histoire compliquée. J'ai toujours écrit et diffusé mes oeuvres à des amis. J'ai également publié...Les relations virtuelles trouvent très difficilement l'ajustement, puisque les internautes ne se connaissent pas vraiment, risquent de se blesser, d'être enfermée dans une spirale, ce que je pense être le cas de ma filleule Sophiana. Je vais chercher ce qui existe pour les personnes en difficulté avec cette spirale d'internet. Lorsque le pathos entre en jeu, les hypersensibles risquent de se blesser gravement. Or, je maintiens qu'il faut garder le contrôle de nos émotions  via le centre de notre être. Je cherche l'issue pour moi-même, ce qui explique des lectures philosophiques, théologiques... Je suis très lucide sur  les dérapages émotionnels dont je ne veux plus être le sujet ou l'objet. J'ai des crises de terreurs  devant ces relations si difficiles à comprendre. J'ai besoin de contacts directs, de visu, de contacts d'amis partageant des points communs avec moi, d'éloigner la peur et la violence que je risque de diriger contre moi...

Nous allons envoyer le chien des Baskerville explorer les lieux où tu sévis ! Détail pour ta culture mais il s'agit d'une opérette  pour " et vl'an, c'est pas mon père " , non d'un vaudeville que tu aurais, soit disant, vu à la télévision. Je ne connais personne qui soit apte à jouer le jeu débile que tu m'as joué. Je ne pense pas que mes  vraies amies d'aujourd'hui.com soient capables d'agir ainsi. Il n'y aura nulle sanction en cas d'aveu que je garderai secret. Mes lecteurs s'intéressent plus à ton histoire qu'au désert  : voici qui est bien étrange! Ma passion du désert est-elle décelée par mes lecteurs?

Mes amis sont sur " artmajeur". J'ai encore le contrecoup de ton  harcèlement. Tu m'as brisée en miettes. Je ne souhaite pas me venger mais comprendre ton attitude. Il est légitime que j'envisage d'éditer une partie de mes écrits en les retouchant. Tes propos n'en feront pas partie, bien entendu.

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Soyons précis : Emmanuelle si tu passes par là, tu peux m'écrire sur ma boite mail. Si tu as perdu mes coordonnées, trouve un plan du style " les longs sanglots monotones....)etc afin que je sache qui tu es.

Je ne supporte pas les malentendus et nous sommes dans un malentendu. Merci d'avance.

Ce doit être une bonne nouvelle pour toi. Mon attelle est foutue et j'ignore comment aller à un rendez-vous cet après-midi.

Je ne cesse de lutter pour éviter que tu m'entraînes dans la mort. Tu peux me lire sur " elisabethdehautsegur.over-blog.com". Je n'ai rien compris de ton attitude. Le crime virtuel existe ou existera dans des codes juridiques. Je ne t'ai fait aucun mal. Que se passe-t-il?

Cette histoire incompréhensible m'a permis de descendre dans les profondeurs de l'originel de l'humain, de la relation première qui est don et sans laquelle l'humain meurt ou devient coupé des autres par son délire, hélas, non entendu ( car il est possible d'entendre les délires et ce qu'ils expriment. Je l'ai fait), par sa catatonie autistique en laquelle vivait mon fils adoptif avant que j'entre en relation avec lui  sur un mode ludique et avec une douceur qui venait de plus loin que moi, qui me traversait puisque je la laissais le faire, par l'oraison silencieuse prônée par Henri Caffarel ( en cours de béatification), par la faiblesse de mon corps qui souffrait de la faim puisque je n'avais pas de quoi m'acheter à manger. Alors mon coeur s'ouvrait à toute blessure tentant de l'adoucir.

Nul ne t'aurait fait du mal si tu avais révélé ton identité. Tu traînais  tes savatte sur ce blog à un moment où ma terreur m'a conduite à exprimer mon désarroi face à la relation entre Didier et Liza parce qu'un malentendu sur le drame égyptien nous avait opposés, Didier et moi, et parce que Liza n'osait pas me rassurer. Alors, j'étais comme piégée. Je ne comprends pas pourquoi tu ne m'as pas dit qui tu étais. Je pense que tu m'as connue sur " aujourd'hui.com". Au lieu de me rassurer, tu as soutenu mes propos fous de terrorisée. Didier, Liza et moi avons su sortir de cette histoire effarante. Je te rappelle que c'est moi qui leur aie indiqué ce blog par souci de transparence et d'intégrité. Je me suis effondré dans une terreur de la folie et j'ai pensé que je devais me tuer puisque j'étais dangereuse et pouvais blesser les autres. Mes amis m'ont rassurée autant qu'ils l'ont pu, mais toi, tu es restée débilement anonyme. Tu auras fait mal à beaucoup de monde, nous laissant imaginer mille et une personnes auteurs de tes propos, et en employant tes termes de " manège", " proie"...Je t'ai proposé de me joindre directement. Je n'allais pas te faire du mal! Tu m'auras confirmé que le virtuel est dangereux et qu'il est un lieu de vide abyssal.