Enchaînée et déchaînée, qu'as-tu pour oser critiquer des personnes que tu n'as jamais vu, soit Didier, Liza, et moi-même ? Soeur Emmanuelle s'appelait Madeleine Cinquin donc tu t'es trompé de prénom. Il est très imprudent de parler de ce que l'on ne connait pas!!!

Connue de Dunkerque à Tamanrasset pour ma grande charité et pour mes oeuvres de chaire  ("honni soit qui mal y pense"!). Il s'agit bien de la chaire pour donner un sermon puisque je suis, à mes heures,  conférencière volant au-dessus des nids de coucous (attention à la rue Cabannis!!) et des nids de cocus car en amour, je ne partage pas tout. As-tu lu l'encyclique de Benoit XVI sur L'Abapè ? Fides et ratio, mais chez toi, ratio vogue sur les mers voire sous les mers. Ratio absente ( ratio: raison; zé panze que toi pas connaitre latin). Fides : l'arbre ne produit pas de bons fruits. La foi est en souffrance. Jadis, tu aurais été envoyée chez les pères du désert avec l'obligation de porter ta barbe (on en trouve au marché aux puces et au mont de piété, et parfois sur les monts de Vénus)!!!

Je suis certaine que tu n'entendis jamais cette galante expression : " tu inspires le péché ", et que tu relèves du glacial " elle n'inspire pas le péché " de mon tendre époux. Tu aurais dû comprendre eu égard à ma droiture que j'avais indiqué à mes amis le blog sur lequel nous échangeâmes quelques propos. Je ne sais pas pourquoi tu as osé diffamé Marie qui est peintre et qui, je le crois, skie avec ses enfants!!!!

Emmanuelle, qu'attends-tu pour dire qui tu es et ce qui t'a poussée à agir ainsi? Si tu es Mado, dis-le rapidement, sinon tout le monde pourrait être au courant. Tu nous a bousillés .Je te demande de dire qui tu es, le plus vite possible. Au fait, je n'ai pas Les Liaisons dangereuses dans ma bibliothèque. Que voulais-tu dire en termes clairs et précis?   Je ne lis plus de romans à mon grand âge mais des livres d'exégèse, des ouvrages orants, des biographies et analyses des oeuvres d'artistes ( peintres, sculpteurs, chanteurs d'opéra) et d'écrivains. Je lis ce qui peur m'aider à vivre et si ce que je lis peut aider des amis, je le leur transmets pour l'instant par mon blog, plus tard si je stoppe mon blog, j'écrirai pour mes amis y compris ceux que tu as jugés avec dureté effrayante. Que t'ont-ils faits? Sans doute rien!

Le sable rose crépite sur mon visage et je n'ai que le temps de mettre mon chèche sur mon visage pour protéger ma bouche et mon nez,  soit ma respiration. Je tourne le dos au vent. Je ne puis bouger : il n'y a plus de visibilité. Tout est opaque. Des ruines de maisons à plus de dix kilomètres d'El Oued sont les signes d'un habitat dont nul ne m'a parlé. Pourquoi ces maison sanglotent-elles? Quel drame ont-elles vu et abrité malgré elles? Non, nous ne sommes pas à Aïn Sefra où Isabelle Eberhardt habitait et périt. Les maisons sanglotent sans livrer leurs secrets. J'essaie de m'abriter contre le vent de sable grâce à ces ruines dont la tempête est intérieure et que nul guérisseur put apaiser. Quatre jours et quatre nuits dans ce brouillard rose, sans eau ni nourriture, et avec des scorpions dont la piqûre est mortelle si nul geste médical n'est fait dans les dix heures la suivant. Je n'ai même pas un couteau pour tenter de faire sortir le venin, si cela est indispensable. Il ne reste que l'incha Allah oriental. Ma bible est dans mon sac : elle me parut plus précieuse qu'un couteau. J'étouffe mais lutte, seconde après seconde, pour tenir le coup durant la tempête. Lorsque le vent cesse, le paysage est méconnaissable et je ne peux plus m'orienter.... Cette expérience est l'archétype de ma lutte quotidienne : ce souvenir est devenu un modèle de survie pour les jours où ma vie est trop dure.

Emmanuelle, j'ai de la peine à comprendre ce qui s'est passé. As-tu réalisé que ce scénario horrible poussait tout le monde au suicide? Mado, je ne te connais presque pas. Si tu es l'auteur des propos d'Emmanuelle, je ne sais pas ce qui t'a conduite à les rédiger. Je ne pensais pas à toi contrairement à mes amis d'overblog. Que te dire si ce n'est que l'art de se rabibocher relève du pardon et qu'il est remarquable dans un tel imbroglio ?  Cette histoire est sinistre et nous avons frôlé trois suicides.

Je sais que tu as désiré m'aider parce que je n'en peux plus de me faire agresser alors que je n'ai rien fait. Je ne veux plus entendre parler de cette femme sauf si tu sais comment lui jeter un sort pour l'anéantir, tout en la laissant en vie, par charité!!!! Toi au moins, tu vas rire de cette phrase. La femme est malade mentale, quelque peu exhibitionniste, à un âge où elle n'a rien de très beau à exhiber d'autant plus qu'elle a tendance à faire la grève de la faim jusqu'à outrance. Elle serait jalouse de toutes les femmes donc elle ne se croit pas irrésistible ( qu'en pensez-vous, mon cher Watson?). Elle drague de loin, sa maladie lui donnant une terreur de l'union intime. J'ai vraiment tenté de l'aider mais ce n'est pas possible. Elle me fait penser aux enfants qui disent " moi, devant"! Elle ignore que j'ai appris dans le désert à borboriser les hommes que je désire. Je suis hilare. J'ai aussi des philtres pour les femmes dangereuses. Je n'ai pas retrouvé " Le rendez-vous d'Essendilène " de Frison Roche en librairie. Je le connais mieux que " Les laisons dangereuses " parce que je l'ai lu plusieurs fois. Elle ne sait pas que le désert ne se dévoile qu'aux âmes pures.